Collier laiton “Les Diaboliques: la Belle Otero” Labradorite Peristerite

178,00 

Collier laiton et inox style plongeant et serti Peristerite Labradorite blanche, esprit Art Nouveau.

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Description

“Le mot naïf et étonné de la Borghèse, quand on lui demanda comment elle avait bien pu poser nue devant Canova: «mais l’atelier était chaud! il y avait un poêle!»”
Les Diaboliques, Barbey d’Aurevilly.

Collection inspirée de femmes, fictives ou historiques qui, à tord ou à raison, ont suscité accusations et calomnies et marqué l’Histoire ou les histoires par leur personnalité sulfureuse…..

Elle a été tour à tour chanteuse, danseuse et courtisane… Personnage féminin incontournable de la Belle Époque, Caroline Otero, a une histoire très étroite avec la Principauté. Née en Espagne en 1868 dans une famille très pauvre, Agustina Otero Iglesias (de son vrai nom), vit une enfance et une adolescence marquées par la misère et la violence. Dès l’âge de 12 ans, elle danse dans les rues, les auberges et les cabarets pour subvenir à ses besoins.  A 21 ans, nouveau tournant. Elle débarque dans la capitale française et débute sa carrière au Cirque d’été et au Grand Véfour. C’est là que les journalistes surnomment cette femme fatale “La Belle Otero”. Une belle qui affole le Tout-Paris et qui fait bien des ravages auprès des hommes… En effet, certains de ses amants malheureux se suicident. D’autres rivaux se provoqueront en duel. Et lors de ses nombreuses tournées, elle séduit tous les messieurs les plus puissants de l’époque : des rois, des aristocrates, des écrivains ou encore des hommes politiques. . En 1915, alors qu’elle est au sommet de sa gloire, la quadragénaire quitte les planches pour laisser d’elle le souvenir d’une femme encore jeune et désirable. Elle s’installe à Nice, et acquiert un manoir, qu’elle ne parviendra cependant pas à conserver. Le démon du jeu la gagne à nouveau et La belle Otéro dilapide des sommes faramineuses à Monaco. « Elle passe son temps au Casino, accumule les pertes et sombre dans la ruine. L’ancienne maîtresse de nombreuses têtes couronnées décède à 86 ans d’une crise cardiaque, dans le plus complet dénuement, seule et sans un sou.

Collier laiton et inox, chaine inox maillons forme rectangle avec travail de martelage plaque laiton soudée argent.
Serti griffe pierre goutte Labradorite blanche aux reflets géométriques bleus et dorés, montée sur une plaque inox martelée sable et entourée de palmettes martelées laiton. Un petit motif inox et laiton sur feuilles de palmette retient le pendentif dans un style typiquement Art Nouveau.
Vernis haute résistance aspect satiné.
Attache pendentif et chainette de rallonge terminée par entrelacs qui permet de jouer sur la longueur du collier.
Dimension du cabochon: 3,2 cm par 1,9 cm. Dimension de la pièce centrale: 6,8 cm par 5,5 cm. Dimension du petit motif supérieur: 2,5 cm par 3 cm.

Collier pièce unique, infiniment art nouveau.


“The naive and astonished word of the Borghese, when asked how she could have posed naked in front of Canova:” but the workshop was hot! There was a stove! “” Les Diaboliques, Barbey d’Aurevilly.

Collection inspired by women, fictional or historical who, rightly or wrongly, have aroused accusations and slanders and marked History or stories by their sulphurous personality …..

She was alternately singer, dancer and courtesan… A key female figure of the Belle Époque, Caroline Otero, has a very close history with the Principality. Born in Spain in 1868 into a very poor family, Agustina Otero Iglesias (her real name), lived a childhood and adolescence marked by poverty and violence. From the age of 12, she dances in the streets, inns and cabarets to support herself. At 21, a new turning point. She landed in the French capital and began her career at the Cirque d’Été and Le Grand Véfour. This is where journalists nicknamed this femme fatale “La Belle Otero”. A beautiful woman who panics all of Paris and who wreaks havoc with men … Indeed, some of her unhappy lovers commit suicide. Other rivals will challenge each other. And during her numerous tours, she seduced all the most powerful gentlemen of the time: kings, aristocrats, writers and even politicians. . In 1915, when she was at the height of her fame, the 40-year-old left the stage to be remembered as a still young and desirable woman. She settles in Nice, and acquires a mansion, which she will not however manage to keep. The demon of the game wins her again and La belle Otéro squanders huge sums of money in Monaco. “She spends her time at the Casino, accumulating losses and sinking into ruin. The former mistress of many crowned heads dies at the age of 86 of a heart attack, in utter destitution, alone and penniless.

Brass and stainless steel necklace, stainless steel chain with rectangle shaped links with hammering work on silver welded brass plate. White Labradorite drop stone claw setting with blue and gold geometric reflections, mounted on a sand hammered stainless steel plate and surrounded by hammered brass palmettes. A small stainless steel and brass motif on palm leaves holds the pendant in a typical Art Nouveau style. High resistance satin finish varnish. Pendant attachment and extension chain terminated by interlacing which allows to play on the length of the necklace. Dimension of the cabochon: 3.2 cm by 1.9 cm. Dimension of the central piece: 6.8 cm by 5.5 cm. Dimension of the small upper motif: 2.5 cm by 3 cm.

Unique piece necklace, infinitely art nouveau.

 

Informations complémentaires

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